Obésité, sucre dans le sang et Covid : les liens sont prouvés

 Obésité, sucre dans le sang et Covid : les liens sont prouvés

Tous les médecins hospitaliers et réanimateurs peuvent en témoigner : leurs patients Covid étaient généralement en surpoids. Une étude sur 17 000 personnes hospitalisées pour Covid l’a confirmé : 8 patients sur 10 étaient obèses ou en surpoids. Face à l’épidémie, mieux valait ne pas avoir de syndrome métabolique, cette maladie qui se caractérise par une mauvaise santé métabolique : du surpoids, une tension un peu trop élevée, un peu trop de sucre dans le sang et un peu trop de graisse au niveau du ventre. On sait depuis longtemps que le sucre dans le sang est catastrophique pour l’immunité. Les diabétiques, qui ont par définition trop de sucre dans le sang (plus de 1,27 g/L), ont 6 fois plus de risques d’être hospitalisés en cas d’épidémie de grippe. De même, les diabétiques ont plus de risques de contracter la tuberculose, et, s’ils ont été infectés, plus de risques de faire une forme grave. Avoir un excès de sucre dans le sang est très dangereux face à une infection comme la Covid-19 : – Au début de l’infection, le système immunitaire est passif, au moment En réduisant drastiquement le sucre et les produits ultra-transformés, et en se préparant des repas avec des produits frais, l’impact sur la santé se voit en quelques semaines. Le grand public doit être informé IMMÉDIATEMENT qu’il faut qu’il réduise le sucre, les glucides transformés et la malbouffe, et se mette à consommer des produits bruts, riches en légumes, fruits, noix, graines, avec beaucoup de protéines de légumineuses, de poisson, de viande, d’œufs, pour améliorer leur santé en quelques semaines et les aider à se protéger contre le nouveau coronavirus.

Les vitamines C et D, le zinc, le magnésium… de l’activité physique, une alimentation pauvre en sucre et riche en produits non transformés. Ces remèdes et gestes simples pouvaient contribuer à prévenir l’infection, éviter des hospitalisations et sauver des vies. Mais il faut bien comprendre comment ils fonctionnent. Ce ne sont pas des « médicaments » à proprement parler. Ce sont des substances ou des gestes qui permettent à notre organisme d’être à son optimum.

Ce ne sont donc pas des « traitements » qui ciblent le virus SARS-CoV-2 : ce sont plutôt des facteurs qui nous rendent plus forts contre n’importe quelle infection, y compris contre les nouveaux variants du coronavirus. Quand notre corps est à 100 %, il est pratiquement invincible contre les infections. Et pour être à 100 %, notre corps a besoin d’une bonne alimentation, de vitamines, de minéraux, d’activité physique. Mais il existe aussi des molécules naturelles qui ont un effet direct contre les virus.

Autres traitements négligés : la quercétine, la propolis, les huiles essentielles et autres remèdes naturels.

Certaines substances antivirales sont susceptibles de prévenir la Covid-19, et auraient mérité une attention beaucoup plus forte. C’est le cas, pour commencer, de la quercétine, un micronutriment que l’on trouve dans les oignons. C’est un « super-nutriment » qui a montré une capacité à renforcer notre organisme contre presque toutes les maladies : contre le cancer, contre Alzheimer, contre l’hypertension, sans le moindre effet indésirable. C’est aussi et surtout un antiviral reconnu, et même un bronchodilatateur naturel, précieux contre l’inflammation des poumons. Dès le début de l’épidémie, on aurait dû penser à la quercétine. Car plusieurs études scientifiques avaient montré que ce remède naturel (ou un de ses dérivés) avait une efficacité : contre le virus de la grippe A et contre les complications de la grippe A H1N1 ; – contre les virus Ebola, Zika, hépatite C et Epstein-Barr. Une étude réalisée sur des souris avait montré que la quercétine empêche certains types de virus d’entrer dans les poumons ! Deux études datant des années 2000 ont conclu à l’intérêt de la quercétine pour bloquer l’entrée dans les cellules d’un coronavirus de la famille du SRAS… et éviter de souffrir du fameux « syndrome respiratoire aigu ». Voilà pourquoi, dès le début de l’épidémie, un grand chercheur canadien s’est exprimé en faveur de ce nutriment : « La quercétine a de bonnes chances de fonctionner, non seulement pour prévenir mais pour guérir le coronavirus », a expliqué le Dr Michel Chrétien Résultat, cette molécule prometteuse a été largement négligée, malgré un large faisceau de preuves favorables. Fin mars, l’ordinateur le plus puissant du monde l’a identifié comme l’un des remèdes les plus prometteurs contre la Covid. On lui avait demandé d’analyser 8 000 molécules déjà étudiées dans les études scientifiques. Et parmi les 77 molécules qu’il a identifiées pour bloquer l’entrée du coronavirus dans nos cellules, la quercétine est sortie en cinquième position. Et puis, il y avait un autre élément très intéressant avec la quercétine. Comme l’hydroxychloroquine, la quercétine est un ionophore du zinc, ce qui veut dire que qu’elle favorise l’entrée du zinc au cœur des cellules, dont on a vu les propriétés antivirales. Avec de telles promesses, comment expliquer l’attentisme des scientifiques et des autorités, qui ne se sont pas pressés de la tester sérieusement ? Et puisque cette molécule est inoffensive, pourquoi ne pas l’avoir conseillée, en prévention, aux personnes vulnérables ?

La spécificité du virus de la Covid-19, c’est qu’il se multiplie d’abord dans le nasopharynx (nez et gorge), avant d’attaquer les poumons et autres organes. Donc, si vous arrêtez le virus au niveau du nez et de la gorge, vous évitez les formes graves. C’est pourquoi de nombreux chercheurs dans le monde essaient de mettre au point un spray nasal contre la Covid-19, avec toutes sortes de molécules innovantes.

Mais pourquoi chercher de nouvelles molécules, alors qu’on avait la propolis sous la main ? Et que les sprays et pastilles à la propolis existent déjà dans le commerce ? D’autant plus que des études avaient déjà montré qu’un spray nasal à base de propolis accélère la guérison du rhume et soulage les symptômes. Donc, il est clair que la propolis en spray dans le nez était très prometteuse pour éviter le coronavirus, sans le moindre risque. C’était aussi le moment d’utiliser la propolis dans la bouche (en spray, bain de bouche ou en pastille) au moindre début de mal de gorge ou symptôme grippal. Car tuer le virus quand il se trouve encore dans le nez et la gorge peut avoir des effets spectaculaires.

Imaginez donc qu’on donne à tout le monde de la vitamine D, du zinc et du sélénium en plus de la quercétine, vitamine C et bromélaïne : on aura forcément des résultats encore meilleurs !

Et en plus, la Covid-19 est tout sauf un billet de loterie. On sait très bien qui risque de mourir : les personnes de plus de 70-80 ans en mauvaise santé. Même à 85 ans, on a très peu de risques de mourir du coronavirus si on est en pleine forme. Quant aux moins de 60 ans, quel que soit leur état de santé, ils ont plus de risque de mourir d’un accident de la circulation que de la Covid. Voilà pourquoi il est impératif de disposer d’un vaccin sûr, sans le moindre risque.

Avec les mutations, le vaccin peut devenir pire qu’inefficace : dangereux ! Si vous avez des anticorps mal adaptés à cause d’un vaccin trop spécifique, dirigé contre une partie d’un virus un peu différent (qui a muté), vous prenez le risque d’avoir une maladie encore plus grave.

Ce risque est réel avec les vaccins ARN et ADN, qui créent des anticorps dirigés uniquement contre une petite partie du virus, la protéine S. Car il suffit que cette partie-là du virus connaisse une mutation importante pour que le vaccin devienne dangereux en créant des anticorps facilitateurs, car mal adaptés. Et il faut bien noter que ce risque n’existe pas, ou peu, avec l’infection naturelle.

En cas d’infection, on a beaucoup moins de risques d’être vulnérable à un nouveau variant, car le système immunitaire créé des anticorps contre plusieurs éléments du virus (les infectiologues parlent d’épitope), et pas seulement ceux de la protéine S. Donc, si un de ces éléments du virus subit une mutation, on continue d’avoir une protection grâce aux anticorps dirigés contre les parties qui n’ont pas muté.

Voilà pourquoi l’immunité collective acquise après deux vagues d’infection est solide et durable, contrairement à l’immunité conférée par le vaccin.

3 Comments

  • Notre immunité naturelle pose problème aux fabricants de médicaments, elle nuit au bisness . Il faut donc mettre hors d’usage les plantes, les huiles essentielles , les,molécules qui maintiennent l’organisme en bon état de fonctionnement. Business avant tout. La santé, doit être comme toute chose et tout objet de consommation soumis au marché, il faut donc qu’elle fluctue pour que la bourse porte bien.

  • Encore un article qui dit tout et son contraire
    D’abord une tautologie : pour ne pa tomber malade il faut en bonne santé
    Puis une imbécilité : ceux qui tombent malade n’ont pas pris leur vitamine

    Et enfin une conclusion idiote qui est un raccourci dangereux et méprisant envers les immuno déprimés et les personnes à risque : la vaccination ne sert à rien
    Article non signé rédigé par un gourou improvisé qui pense que la science, la médecine est une opinion
    11 années d’étude pour avoir des opinions ….

    • Dès lors qu’on utilise des mots comme imbécilité, idiotie ou que l’on a recours à des jugements de valeur pour répondre à une prise de position qui semble tout à fait sensée, on imagine l’état d’esprit de l’auteur et l’on préfère se préserver de ce genre d’intervention. Incroyable, la facilité avec laquelle on s’autorise à dénigrer !

Laissez nous un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

%d blogueurs aiment cette page :