Ivermectine : La grande victime du Pharmageddon

 Ivermectine : La grande victime du  Pharmageddon

« L’ivermectine a été victime d’une campagne massive de désinformation et d’attaques systématiques concertées sur sa sécurité et la qualité des données cliniques. Le résultat ? Son efficacité dans le monde réel n’a pas changé, mais sa validation est devenue pratiquement impossible. Dans une vidéo Le Dr Pierre Kory présente les données après ce « Pharmageddon(1) » et réitère son message sur l’importance de l’utilisation de l’ivermectine et des autres médicaments repositionnés efficaces en combinaison. » (retrouvez la note de synthèse ainsi que le protocole de la FLCCC en fin d’article)

Dans la vidéo traduite en français que nous avons synthétisé, Le docteur Pierre Kory, président, de la FLCCC ALLIANCE nous parle des données probantes qui étayent l’efficacité de l’Ivermectine dans la prévention et le traitement du COVID-19.

Le Covid-19 est absolument traitable

C’est le constat de l’organisation de la FLCCC « et ceci pas seulement avec l’Ivermectine mais avec un grand nombre de composés qui augmente chaque jour. Certains composés ont des bases factuelles plus solides que d’autres. Mais la plausibilité biologique et les impacts des essais cliniques sont vraiment impressionnants à ce jour.

Comme pour toute autre maladie aiguë, le plutôt (le traitement) sera le mieux. Les premières heures ou le premier jour des symptômes sont les plus importantes. Vous pouvez vous en sortir même avec un seul médicament si vous le prenez assez tôt. Mais lorsque la maladie progresse et que l’on rentre dans une phase plus avancée, il est clair que des combinaisons sont nécessaires. Le Dr Pierre Kory confirme que tous leurs protocoles sont en réalité des combinaisons de thérapies. Il n’y a pas que l’Ivermectine. Ils sont également heureux d’annoncer qu’ils ont un vrai succès avec le COVID long et les maladies post-vaccinales. Ainsi, un grand nombre de personnes sont tombées malades après avoir été vaccinées. Évidemment, ce n’est pas tout le monde, mais il y a une minorité non négligeable qui l’a été. Et ils obtiennent beaucoup de réponses cliniques vraiment positives.

L’Ivermectine c’est quoi ?

Pierre Kory rappelle que l’Ivermectine est connue en tant que médicament anti-parasite. Un médicament qui a changé le monde parce qu’il a vraiment changé l’état de santé de millions de personnes à travers les continents en éradiquant les maladies parasitaires endémiques mondiale. Les chercheurs qui l’ont découvert ont même gagné le prix Nobel de médecine.

Un médicament sûr, pas cher et recommandé par l’OMS à l’époque

Sa sécurité, sa grande disponibilité et son faible coût l’ont fait figurer sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS. Ce dont je veux parler aujourd’hui c’est que la totalité de ces données probantes. Le Dr Kory est littéralement dépassé de part que l’Ivermectine fassent l’objet de discussions comme si « ça pourrait marcher » ou comme si c’était controversé. C’est absolument insensé que nous en discutons de cette manière. Cela repose sur l’une des bases factuelles les plus solides et multiples de toutes les thérapies qu’il a pu étudier au cours de ma carrière. Et vous savez de quoi les gens aiment parler ? Sur la façon dont un essai a montré ceci ou n’a pas montré cela et ils sont complètement perdus. Et il pense que c’est ce qui explique l’opposition à l’Ivermectine. Il y a une ÉNORME opposition à l’Ivermectine. Ils veulent que l’Ivermectine disparaisse du « marché des soins de santé ». Et ils font cela en faisant en sorte que tout le monde se concentre sur les essais contrôlés randomisées. C’est faux selon la médecine factuelle. Il suffit de passer en revus tout cela à partir de la science fondamentale, les modèles animaux, la pharmacologie, les expériences cliniques, les séries de cas qui ont été publiées, les essais cliniques observationnels, randomisés, pourquoi ils sont équivalents, leur méta-analyse et ensuite les données épidémiologiques accablantes du monde réel qui sont tout simplement époustouflantes.

Commençons donc par la science fondamentale. Premièrement, c’est un antiviral. Nous disposons de 10 ans d’études en laboratoire montrant les effets in-vitro sur l’inhibition de la réplication de nombreux virus dont au moins 10 : Le zika, la Dengue, le Nil Occidental, la Grippe, le VIH, et autres.

Quant aux mécanismes, ils y travaille encore et pense que les scientifiques essaient toujours de les dénombrer et de mieux les comprendre. Mais pour lui, l’un des plus importants est qu’il a été démontré qu’elle se lie très étroitement à la protéine de pointe dans certaines études. Le Dr Kory pense que c’est pour cela qu’elle est si importante pour prévenir le covid. Parce que c’est la preuve la plus solide pour lui. C’est sa capacité à prévenir autant la transmission que son utilité comme traitement. Donc, elle interrompt la réplication. Quand on pense aux malades du Covid qui sont dans la phase réplication du virus et ensuite dans cette phase hyper inflammatoire dans laquelle certains rentrent, puis vont à l’hôpital, cette phase ou les macrophages attaquent les poumons. Le COVID, à la base c’est quel genre de maladie ?

c’est un syndrome d’activation des macrophages. Fin de l’histoire ! Les macrophages sont stimulés ils deviennent fous et attaquent les poumons et d’autres organes. Donc, l’Ivermectine a de nombreux mécanismes anti-inflammatoires. Et puis, dans le cas du Covid long, où nous voyons un dysfonctionnement des mastocytes, l’Ivermectine est aussi capable de repolariser les macrophages et de stabiliser les mastocytes. C’est ce que nous pensons être des mécanismes. supplémentaires.

Efficacité de l’Ivermectine contre la covid reconnue depuis juin 2020

Parlons maintenant de l’efficacité clinique. L’un des premiers groupes au monde à avoir comprit l’efficacité massive de l’Ivermectine était un groupe de la République Dominicaine. Kory a rencontré ces collègues et un soir il est sorti avec l’un des médecins qui sont propriétaires des cliniques dans lesquelles cela a été découvert. Il lui a parlé du premier cas, le tout premier patient qu’ils ont traité et qui a eu une réponse clinique spectaculaire en passant de l’oxygène à haut débit à l’oxygène minimal pendant la nuit. Ils ont commencé à l’intégrer dans leur protocole. Et sur les 2700 patients consécutifs qu’ils ont traité, seuls 16 ont dû être hospitalisés. Deux seulement sont allés en soins intensifs et un seul est décédé. Un résultat remarquable sur 2700 patients consécutifs. Cela vous montre l’efficacité d’un traitement précoce juste dans ce cas. Et cela a été publié et disponible déjà depuis juin 2020. Et pourtant on est encore entrain de délibérer sur son efficacité.

Le Dr Kory livre aussi aa propre expérience clinique même si personne ne s’en soucie. Il utilise l’Ivermectine depuis octobre 2020 et a trouvé des impacts cohérents et reproductibles dans le fait qu’au moins un symptôme important de cette maladie est atténué ou diminué dans les 12 à 24 heures, encore et encore et encore… Maintenant il a eu beaucoup de patients pour lesquels l’Ivermectine « seule«  n’a pas fonctionné. C’est à dire des patients plus âgés avec plus de comorbidités ou pour lesquels il est arrivé tard et a dû utiliser d’autres thérapies très efficaces mais avec un bon traitement centré sur un protocole utilisant l’Ivermectine. Personne n’est décédée et une seule personne a été hospitalisé. C’est une de ses cousine qui l’avait contacté au dixième jour de sa maladie et pense que ça a eu un impact sur son évolution parce que même si elle est allé à l’hôpital quelques jours plus tard elle est ressortie 4 ou 5 jours plus tard. Voilà donc des expériences cliniques.

La science fondamentale, maintenant la pharmacologie

Cette une absurdité de croire que l’Ivermectine pourrait être dangereux : c’est littéralement l’un des médicaments les plus sûrs au monde ! Il possède une des marges de sécurité les plus inégalées de tous les médicaments sur le plan du dosage. Ils ont donnés à des volontaires sains 10 fois la dose. Il n’y a jamais eu de décès ou considéré comme prouvé étant lié à l’Ivermectine même dans des surdoses massives. Il est certains que dans le cas de surdose massive des gens sont tombés malades et sont allés à l’hôpital. Mais avec des soins de soutien, leur santé a été rétablie. Et il n’y a rien dans les bases de données qui évoquent une toxicité pour le foie ni pour les reins comme cela ne l’est pas pour les poumons. Il y a littéralement deux cas d’hépatite suspectées dans les 35 ans d’histoire de l’Ivermectine. Donc cette absurdité selon laquelle l’Ivermectine blesserait le foie n’est basée sur aucune science. Et même l’OMS l’a distribué sur tous les continents depuis des décennies. L’OMS sait que la majorité des effets secondaires sont mineurs et transitoires. Dr Kory : « Juste pour vous dire comment le système est sous influence, j’ai vu un article dans le New England Journal où on parle de ces patients qui ont pris de l’Ivermectine à des doses modérées et que certains ont été admis ensuite aux soins intensifs. Je trouve cela absolument absurde. Cela s »écarte complètement de ce que nous savons de ce médicament depuis 35 ans. Un médicament très sûr. »

L’ivermectine est un médicament non breveté, à faible profit

Voilà, le problème, c’est qu’il est bon marché ( 1,5 $ par comprimé de 3mg) et il y a des fabricants dans le monde entier. C’est un médicament non breveté, à faible profits. Mais il est tout à fait adapté à cette pandémie.

Pas besoin de réfrigération, aucun coût d’administration. Vous pouvez le distribué sous forme de comprimés. Chaque ménage pourrait le garder dans son armoire. Et encore une fois, le ratio risque/avantage de l’utilisation de ce produit est très en faveur des avantages, avec pratiquement aucun risque.

Maintenant, regardons les études contrôlées

Regardons la base des données probantes. C’est juste absurde. Il s’agit de 64 essais, 32 randomisés et 16 des 32 sont des essais en double aveugle contrôlés par placebo, prospectifs et randomisés.

Pourtant les pays continuent de mettre en place des essais contrôlés par placebo. Ils sont toujours entrain de les planifier et de les concevoir. Cela est absolument ridicule. On ne peut plus donner un placebo, surtout à la fin de cet exposé. Cela détonne une ignorance extrême. Et regardez, l’efficacité est massive en prévention, très élevé en traitement précoce, moins en traitement tardif, mais l’impact sur la mortalité reste important.

Des résultats compacts de grandes magnitudes reproductibles montrent de façon cohérente une protection de la maladie. Les mécanisme sont clairs. Ça se lie littéralement non seulement à la protéine Spike mais aussi au domaine de liaison du récepteur H2. Et donc cela empêche la liaison et l’entrée du virus dans la cellule. Ça marche !

En prévention

Dans le cadre de la prévention ce n’est pas seulement l’Ivermectine. D’autres molécules fonctionnent et les protocoles de la FLCCC les intègre. Il y a la Povidone iodé, de la Nigella Sativa, de la Vitamine D, de la Mélatonine, il y a même des anticorps monoclonaux. Il a été démontré que l’Hydroxychloroquine protège mais pas aussi efficace que l’Ivermectine. Mais quand même beaucoup de composés différents marchent dans la prévention de la transmission. Personne ne les recommande. Mais l’Ivermectine a la plus grande base de données probantes.

En prévention, la FLCCC conseille de prendre l’Ivermectine deux fois par semaine parce qu’ils ont commencé à voir des infections malgré la prise avec le variant Delta qui amène des charges virales beaucoup plus élevées. Donc ils privilégient désormais le traitement bihebdomadaire (deux doses). Ils prônent également les gargarismes et les bains de bouche réguliers, surtout en pandémie, car cela permet de prévenir les formes graves et de réduire la transmission. Aussi tous les autres composés ont montré qu’ils réduisaient la transmission, tous sont sûrs.

Les essais sur le Proxalutamide de Flavio Cadegiani sont absolument spectaculaires. Le rôle de la suppression anti-androgène. C’est incroyable que si peu dans la communauté scientifique dans le monde reconnaisse l’utilité de ces composés.

Le traitement tardif est moins efficace comme on pouvait s’y attendre. Plus on traite tard, plus on a besoin de médicaments. Pour l’Ivermectine seul bien qu’utile, et bien que toujours très utile pour prévenir le décès, il est évident que son efficacité à ce moment sera un peu réduite.

Méta Analyses

Le Dr Kory affirme qu’il n’a jamais vu une méta analyse avec une telle quantité d’effets positifs reproductibles. Des méta-analyses ont été réalisées. Tout le monde connait Bryant. C’est l’un des articles les plus populaires de l’histoire récente. Ils ont travaillé pendant des décennies pour Cochrane et l’OMS, et ils ont réalisés une méta analyse de manière indépendante après avoir vu la captivité des agences des intérêts pharmaceutiques et qu’elles évitaient littéralement de faire ce travail.

Maintenant, gardez à l’esprit que l’opposition à l’Ivermectine est massive et ils commencent à commettre des actions de plus en plus criminelles. Sachez donc que notre article sur l’Ivermectine a été rétracté après avoir passé l’examen par les pairs de trois scientifiques gouvernementaux de premier plan. L’article de Tess Lawrie et Andrew Bryant a été rétracté du Lancet Respiratory après avoir passé l’examen par les pairs.  » L’autre camp » s’active contre l’Ivermectine.

Lorsque l’on regarde la totalité de toutes ces évidences, l’Ivermectine est un médicament efficace qui fonctionne dans le monde entier il devrait être déployé systématiquement et mondialement. Aux USA c’est un cloaque d’influences pharmaceutiques qui s’est emparé des institutions sanitaires. Les agences recommandent en ce moment de ne rien utiliser pour prévenir cette maladie.

Il n’y a eu dans l’histoire aucun médicament qui ait dû faire face à autant d’adversaires sur le marché des soins de santé comme l’Ivermectine. Ils ont tué l’hydroxychloroquine il y a un an en utilisant des stratégies similaires d’essais défectueux utilisant des doses toxiques ou des doses inefficaces. Ils sont partis en guerre contre l’Ivermectine avec des mois de bombardements dans les médias et dans les agences de la CDC parce que les médecins et les gens aux Etats-Unis ont compris que cela fonctionne. Car les prescriptions ont atteint les 90 000 par semaine.

Sachez que le covid est une maladie qui se soigne très bien. Il y a de nombreuses molécules et l’Ivermectine dispose de la plus grande base de données probantes. Traitez tôt, traitez tôt, traitez tôt. Et regardez nos protocoles sur FLCCC.net – Ils ont un protocole de prévention de traitement précoce, hospitalier et pour le covid long ainsi. que pour les atteintes post-vaccinales.

SYNTHESE ARTICLE

PROPHYLAXIE ET PROTOCOLE DE TRAITEMENT – AMBULATOIRE PRÉCOCE POUR LA COVID‑19

PROTOCOLE DE TRAITEMENT HOSPITALIER POUR LA COVID-19

OPS-Resume-dune-page-des-preuves-des-essais-cliniques-sur-livermectine-dans-le-traitement-de-la-COVID-19-FRANCAISFrench

(1) Pharmageddon : Un scénario dystopique dans lequel la médecine et l’industrie pharmaceutique ont un effet négatif net sur la santé humaine et le progrès médical fait plus de mal que de bien.

2 Comments

  • Pourtant le PDG de Mylan qui commercialise l’ivermectine est ravi de voir ses bénéfices augmenter!

    • On parle d’un générique … En comparaison de Pfizer, il y a un fossé, enfin plutôt un canyon.

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