Le vaccin ne sert à rien quand on a moins de 60 ans – Foutez nous la paix avec votre passe vaccinal !

 Le vaccin ne sert à rien quand on a moins de 60 ans – Foutez nous la paix avec votre passe vaccinal !

C’est ce lundi 07 février que David Pujadas dans l’émission les indispensables partage les analyses et décryptages sur Omicron. Que l’on soit « vacciné ou non vacciné » les moins de 60 ans ne meurent plus d’Omicron selon des chiffres très officiels de la Drees insiste Fanny Weil. Le risque de mourir quand on a entre 20 et 59 ans quand on attrape OMICRON et qu’on est pas vacciné est tellement faible qu’il apparaît inexistant dans les données de la Drees. Oui on peut l’affirmer on ne trouve aucun adulte mort de moins de 60 ans non vacciné. Autrement dit le vaccin n’apporte pas de protection supplémentaire puisque le risque est déjà infime (ajoute Fanny Weil). En revanche lorsque l’on a plus de 60 ans tout change. Mais c’est chez les 80 ans et plus qu’on enregistre le plus fort taux de mortalité. On pourrait se dire que la vaccination serait utile pour cette catégorie là.

Le vaccin depuis un mois et demi n’a servi et ne sert à rien quand on a moins de 60 ans. Et bien ! Il ne sert à rien contre la mort ça c’est une certitude.

C’est exactement ce qui se passe en Martinique que l’on soit vacciné ou non vacciné

Du 1er janvier au 06 février 2022

De 0 à 9 ans : zéro décès Omicron

De 10 à 19 ans : zéro décès Omicron

De 20 à 29 ans : zéro décès Omicron

De 30 à 49 ans : zéro décès Omicron

De 50 à 59 ans : un décès lié à Omicron

De 60 à 69 ans : (cinq) Trois décès liés à Omicron – Taux de létalité 0,41% – Taux de survie 99,59%

De 70 à 79 ans : (sept) Quatre décès liés à Omicron

De 80 à 89 ans : (neuf) Trois décès liés à Omicron – Taux de létalité 2,46% – Taux de survie 97,54%

De 90 ans et plus : 1 décès Omicron

Vouloir imposer un passe vaccinal qui concerne essentiellement la population active qui n’a rien à craindre de ce virus et pour laquelle la vaccination ne sert à rien est un déni de la réalité assimilé à une atteinte grave de la pathologie du covidisme.

Montagnier a eu tort d’avoir eu raison trop tôt. Rien de nouveau sous le soleil

Le Pr prix Nobel de médecine Luc Montagnier l’avait dit dans une émission sur Cnews que ce coronavirus a fait l’objet d’un gain de fonction en laboratoire avec l’insertion d’une séquence du VIH pour le rendre plus pathogène. Il faut rappeler que cette vidéo a été censuré sur le site de Cnews qui a produit cette émission mais c’était sans compter sur la vigilance des internautes qui l’ont enregistré et publié sur une autre plateforme. Le professeur Montagnier l’a rappelé à juste titre que la nature n’accepte pas n’importe quoi et qu’il y a une certaine harmonisation des séquences de l’information génétique. Si vous faites une construction artificielle elle a peu de chance de survivre. La nature aime les choses harmonieuses et ce qui est étranger, par exemple un autre virus venant d’un autre virus, n’est pas bien toléré. Donc, ce qui ce passe, pendant l’épidémie il y a une évolution du virus par des mutations. Les séquences vont muter. Il y a cependant une lueur d’espoir et on peut penser qu’au fur et à mesure des transmissions que le pouvoir pathogène du virus va disparaître, que le virus va s’autodétruire.

Une politique sanitaire incantatoire

Il appartient désormais aux Martiniquais de ne pas sombrer avec cette politique sanitaire incantatoire qui n’a plus rien à voir avec la science si ce n’est du scientisme.

La bête est blessée elle se meurt et tend de plus en plus vers la méchanceté. Mais toi, fais lui face et garde la maîtrise et l’intégrité de ton corps. Sans ton consentement elle ne peut rien faire, elle est vouée à sombrer dans les ténèbres.

Alexandre Jean-Louis le 07 février 2022

1 Comment

  • La dissidence est en train de remporter la guerre de l’information.

    Les nombreux rapports internes à l’OMS ont fini par faire mouche, la plupart des comités scientifiques européens lâchent l’affaire des vaccins. De nombreux pays, comme la Suède, le Japon et autres, remettent fortement en cause le rapport bénéfice-risque, avec des rapports incisifs en cours de rédaction, et certains déjà publiés.

    Les commissions sénatoriales aux USA commencent à mettre la pression sur la Task Force, le CDC ne sait plus quoi faire face à de nombreuses démissions et protestations internes. Les laboratoires, Pfizer en tête, qui ont graissé la patte des politiciens, sont en perte de vitesse car les politiciens n’osent plus trop s’afficher avec les lobbyistes par peur de la colère populaire.

    Plus personne n’ose parler de 4ème ou 5ème dose vu l’échec humiliant de la stratégie israélienne et l’inefficacité de ces injections expérimentales, maintenant communément acceptée par l’opinion populaire et l’évidence devant le fait que ces pseudo-vaccins ne font rien d’autre que de sélectionner des variants plus contagieux et sélectionneraient bientôt des variants pouvant ravager la population dont ils auraient largement affaibli les défenses immunitaires.

    Des jeunes sportifs du monde entier annoncent tous les jours avoir des problèmes cardiaques pour certains irréversibles peu après leur vaccination (et cela n’a rien à voir avec le COVID puisque ce phénomène est corrélé aux doses vaccinales distribuées, géographiquement et chronologiquement), d’autres tombent sur les terrains de sport. Les autorités commencent à craindre une menace cardiaque invisible qui se révélera trop tard chez beaucoup de gens, lors d’efforts intenses. Des millions de femmes commencent à signaler des problèmes de fertilité, absence de règles, cycles hormonaux perturbés, etc. ce qui commence à donner lieu à des débats et des études sur la question sont en train d’être organisées; et plein d’autres problèmes encore.

    Je vous l’assure, certains commencent à craindre l’heure de rendre des comptes… même si tout ceci tombera probablement vite aux oubliettes car la corruption est enracinée; sans réelle mobilisation populaire, les responsables ne seront pas inquiétés… mais la leçon est claire et beaucoup ne s’y laisseront pas reprendre.

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