Satoshi Omura: l’ivermectine un traitement contre la COVID.

 Satoshi Omura: l’ivermectine un traitement contre la COVID.

« En plus d’empêcher la réplication du virus l’ivermectine favorise la production d’anticorps. »

NDLR (La rédaction d’Évolution Martinique a été interpellée par des médecins qui nous ont fait savoir que l’Ivermectine se révélerait être, aussi, efficace contre les autres virus ARN comme le Zika, la dengue, le Chikungunya) nous y reviendrons dans une prochaine édition.

Le 21 Janvier 2022, dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux et qui a été censurée par le diktat youtube, Satoshi Omura présente son analyse sur l’efficacité de l’ivermectine contre la covid.

S. Omura : Il a fallu beaucoup de temps pour que l’efficacité de l’ivermectine soit formalisée dans une publication scientifique. La FLCCC Alliance a produit une méta analyse qui conclut à l’efficacité du traitement par Ivermectine.

Le DR Thérésa A. LAURIE est une scientifique basée en Angleterre qui fait des statistiques médicales. Elle a travaillé pour l’OMS et elle confirme l’efficacité de l’Ivermectine.

Tout d’abord, l’Ivermectine inhibe la réplication virale. Elle possède un effet anti-inflammatoire puissant grâce à une grande variété de mécanisme. Cet effet anti-inflammatoire est vraiment essentiel. L’Ivermectine en plus de diminuer la charge virale des patients protège aussi les organes. De plus, pris avant l’exposition, elle protège de l’infection.

Finalement, les régions où l’Ivermectine est employée, on constate un nombre de cas plus faible et une mortalité diminuée. Ceci est vrai dans les pays qui utilisent l’Ivermectine pour prévenir l’Onchocercose ou la filariose lymphatique, maladie endémique, dans les pays Africains très pauvre.

Voilà le protocole « I-MASK+ » avec un « I » pour Ivermectine et mask pour le masque chirurgical. Le « + » indique d’autres médicaments qui sont données avec la Vitamine D, la Vitamine C ou encore le Zinc. Il y a différents protocoles utilisés par différents médecins celui-ci est un exemple.

Les résultats synthétisés par la FLCCC montrent, sur onze essais cliniques sur la prévention, 15 essais sur l’utilisation précoce et 18 essais sur le traitement tardif, 87% d’efficacité pour la prévention, 82% pour le traitement précoce et une efficacité qui diminue pour le traitement tardif mais qui est toujours présente avec 51%.

De plus en plus de mécanismes d’actions avec l’ivermectine continuent à être découverts.

Pour commencer, l’un des mécanismes le plus connue de la covid fait intervenir la protéine Spike du virus et le récepteur ACE-2 à la surface de la cellule. L’Ivermectine bloque leur interaction et donc empêche l’entrée du virus à l’intérieur de la cellule.

Si le virus pénètre dans la cellule, sa réplication comporte plusieurs étapes sur lesquelles on peut agir. D’abord une grande polyprotéine inactive est synthétisée et elle doit être coupée pour être active. L’Ivermectine emêche la protéase principale du virus de couper cette grande polyprotéine en protéines fonctionnelles. Elle bloque également les importines qui transportent des protéines virales vers le noyau de la cellule.

Ce médicament est unique car il ne se contente pas d’empêcher le virus de se multiplier mails il déclenche une réponse antivirale systémique globale de l’hôte. L’Ivermectine se fixe sur l’importine Alpha bloquant ainsi l’association avec l’importine beta ce qui empêche le transfert de protéines vers le noyau.

Dans le cas d’une filariose nous n’avons besoin de prendre l’Ivermectine qu’une fois par an.

Comment se fait-il qu’une faible dose d’Ivermectine ait un effet aussi prolongé ? On a probablement deux hypothèses. La première : c’est que ça ralenti la ponte de microfilaria par le parasite (NDLR – confirmé par la Haute Autorité de Santé) mon hypothèse (S. Omura) c’est que l’Ivermectine favorise la production d’anticorps contre les microfilarias.

Une autre expérience a été faite sur des hamsters que l’on a d’abord infecté avec le SARS-COV2. Au premier groupe on a donné de l’Ivermectine et à l’autre groupe on a rien donné. Comme ils ont été infectés, les deux groupes développent évidemment des anticorps contre le virus. Mais le groupe qui a reçu de l’Ivermectine développe dix fois plus d’anticorps neutralisants. C’est une recherche qui a été effectuée au sein même de mon laboratoire.

On va s’intéresser maintenant à l’effet anti-inflammatoire. Nous prenons pour cela un modèle de souris chez qui on provoqué une inflammation pulmonaire. La clarithromycine permet de limiter la quantité de cytokines inflammatoires. On obtient un effet légèrement meilleur avec une dose dix fois inférieur d’Ivermectine. L’Ivermectine est plus puissante que la clarithromycine pour diminuer l’inflammation. Voilà pour cet effet anti-inflammatoire.

Dans une autre étude on regarde la mortalité et la clairance virale dans une étude effectuée au Bangladesh. 133 personnes n’ont pas reçu d’Ivermectine et de l’autre côté 115 en ont reçu. Dans le groupe qui n’en a pas reçu, il a fallu 15 jours pour que le virus disparaisse tandis que dans le groupe qui a reçu de l’Ivermectine il a fallu 4 jours pour que le virus disparaisse.

Et maintenant la mortalité

Dans le groupe qui n’a pas pris de l’Ivermectine il y a eu 6,8% de morts, par contre dans le groupe qui a reçu de l’Ivermectine la mortalité était de moins de 1%. C’est grâce à cette étude clinique que l’on a compris ces effets.

Les pays Africains où la filariose lymphatique et aussi l’onchocercose sont répandus, utilisent l’Ivermectine qui est donc beaucoup administrée. Les pays du nord et de l’Afrique du sud qui n’ont pas ces maladies ont une mortalité beaucoup plus élevé que dans les pays où il y a ces campagnes de distributions d’Ivermectine. Nous avons compris ça.

Maintenant à propos de l’Inde

L’année dernière entre fin avril et le mois de mai, le nombre de personne infectée a explosé. Les crématoriums étaient débordés et les morts étaient incinérés sur des bûchers comme sur la photo. Pendant ce temps quelques régions indiennes avaient déjà l’habitude d’utiliser l’Ivermectine. Ce sont des régions dans lesquelles la filariose lymphatique était déjà répandue.

L’Ivermectine a été distribué en masse à la population et l’épidémie a alors très fortement reculé mais elle n’a pas complètement disparue en Inde. La raison est que certains États n’ont pas utilisés d’Ivermectine et donc l’épidémie n’a pas reculé partout. Dans l’État d’Uttar Pradesh un très grand état avec une population de plus de 200 millions d’habitants, ils ont pris l’initiative d’utiliser l’Ivermectine contre l’avis de l’OMS et l’épidémie a très fortement diminué au point de presque disparaitre. Récemment l’épidémie repartait entre autre à cause du nouveau variant Omicron ce qu’il convient de surveiller attentivement.

À l’opposé, sans Ivermectine, l’État du Kerala ou habitent environ 40 millions de personnes a beaucoup plus été touché. La scientifique en chef de l’OMS la Dr Soumya Swaminathan a encouragé les Indiens à ne pas utiliser l’Ivermectine en racontant plein de choses pour les dissuader. Elle a menti à propos de l’Ivermectine alors des avocats Indiens ou plutôt une association d’avocats a déposé une plainte contre elle au tribunal. Une plainte a été également déposée contre le Directeur Général de l’OMS.

Après le succès de l’Inde, surtout de l’état de l’Uttar Pradesh on passe à l’Indonésie

En indonésie il y a environ 200 millions d’habitants et ils ont commencé à traiter avec l’Ivermectine 3 mois après l’Inde. Là aussi l’épidémie a beaucoup reculé. En Indonésie aussi l’Ivermectine est facilement accessible car c’est un pays où la filariose lymphatique est répandue. À propos si on regarde la Malaisie qui a un environnement et un climat à peu près similaire à celui de l’Inde mais qui n’utilise pas d’Ivermectine on constate une grande différence avec la courbe épidémique de l’Inde. On peut effectivement dire que l’Ivermectine semble permettre de contrôler l’épidémie.

De plus l’Ivermectine est une molécule avec très peu d’effets secondaires et la dose nécessaire n’est pas très élevée.

Satoshi Omura

1 Comment

  • Félisitasyon ba Japonais Prix Nobel-la.
    Nou pa jalou, nou ni piebwa-a.
    Yo ka kriyé’y BWAKAKA.
    Tout moun ki ni Zèb anbabwa ni bwakaka.
    Man paka mété lòt non-an pou fè zòt chèché !
    NOU TOUT SÉ PÉ TRAPÉ PRINOBEL-TOU::
    DOLIPRANE, EFFERALGAN, VICKX,
    YMERMECTINE, QUININE, ARTÉMISIA,
    KOLA ABSINTHE, CHLOROQUINE, BRISÉ,
    ATOUMO, FÈ’Y POIS D’ANGOLE, SIRIO,
    KANNÈL, ZABOKA, LALOÉ, DITÉPÉYI,
    ZÈB KOURÈS, POUPIÉ, GRIYAV, KOOSOL,
    etc, etc, etc
    TOUT SÉ VIÉ MOUN-AN KI TÉ KONNÈT TOUT SÉ FÈ’YBWA-A KOVID CHAYÉ-YO PAS YO TÉKA HT MÉDIKAMAN KI SÒTI LÒTBÒ KE NOU KA HT, PAS SÉ FÈ’Y BWA NOU-AN KA FÈ FIMIÉ ATÈ’-A. EPI SÉ POU AYEN🙃

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