Effets indésirables des vaccins – Le Dr Amine UMLIL poursuivi pour délit de vérité ?

 Effets indésirables des vaccins – Le Dr Amine UMLIL poursuivi pour délit de vérité ?

Docteur Amine UMLIL

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier

Juriste (Droit de la santé)

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

Le 23 mars 2022, j’ai eu l’honneur de recevoir une invitation à participer à l’enquête parlementaire portant sur les « Effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et le système de pharmacovigilance français ». Cette enquête a été menée par l’OPECST, dont vous étiez le Président, à la demande de la Commission des affaires sociales du Sénat et suite à une pétition citoyenne.

J’ai été sollicité en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, responsable du service « Pharmacovigilance / Coordination des vigilances sanitaires / Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) »du centre hospitalier de Cholet, un hôpital public dans lequel j’exerce depuis septembre 2002 (20 ans). Je figure également dans la liste des « Chefs de service, responsable de structure interne, ou d’unité fonctionnelle non rattachée à un service ». Ancien étudiant à la faculté de pharmacie d’Angers et ancien interne des centres hospitaliers universitaires (CHU) de Toulouse, je suis également titulaire de nombreux autres diplômes universitaires dont un diplôme de gestion des entreprises ; et une licence de droitobtenue en 2017 (Faculté de droit d’Angers, campus de Cholet) et d’un master II en droit de la santé validé en septembre 2019 (Faculté de droit de Rennes et École des hautes études en santé publique (EHESP) de Rennes). Le mémoire présenté dans le cadre de ce master II est disponible sur le site du service documentation de l’EHESP de Rennes et sur le site (blog) du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Le titre de ce mémoire est : « Le circuit du médicament dans les établissements de santé français face aux articles 223-1 et 223-2 du code pénal. « Des risques causés à autrui » ». Je suis également membre de l’Association française de droit de la santé (AFDS). Ma dernière ligne de mon Curriculum vitae(C.V.) – de plusieurs pages – indique également et notamment « Conservatoire de musique, Football (haut niveau), Karaté Shotokan (ceinture noire), etc. » (« Revue de presse sportive : Karaté et Football » disponible et connue de toutes les autorités ad hoc). Un extrait de ce C.V. est accessible sur le blog du CTIAP (cliquer ici). Et le directeur de l’hôpital de Cholet, Monsieur Pierre VOLLOT, m’a donné son accord écrit pour que je puisse poursuivre mes études de droit dans le cadre d’un Doctorat.

« La campagne de vaccination a été source d’inquiétudes pour une partie de la population, car les vaccins utilisés ont été développés à une vitesse inédite et grâce à de nouvelles plateformes vaccinales. L’Office regrette que la communication institutionnelle sur les effets indésirables ait été trop discrète par rapport à la communication incitant à la vaccination. La confiance des citoyens ne peut être bâtie qu’à partir d’un discours de vérité sur les effets indésirables et d’une démarche de pédagogie et de transparence de l’ensemble des professionnels de santé et des autorités sanitaires. Cela passe également par une reconnaissance et un accompagnement des personnes qui souffrent d’effets indésirables, trop marginalisés aujourd’hui. »

le « principe de légalité » ne se limite pas uniquement à une « loi ». Selon une jurisprudence constante notamment administrative, l’Administration, sous peine d’engager la responsabilité de l’État, doit écarter l’application d’une loi incompatible avec les conventions internationales et le droit européen. D’autant plus si ladite loi n’a jamais été soumise ni au contrôle de constitutionnalité (sa conformité au bloc de constitutionnalité), ni au contrôle de conventionnalité (sa conformité aux conventions internationales et au droit européen). Cette obligation pèse également sur tout jugeainsi que sur le législateur (le Parlement).

L’Histoire a pu montrer qu’une loi peut être de nature délictuelle voire criminelle. D’où l’avènement du contrôle de constitutionnalité notamment.

 je ne suis pas celui qui a converti l’analyse froide et technique d’un dossier d’un médicament (vaccin) en ce qui pourrait être considéré comme une approche religieuse voire en une dérive sectaire de la politique « pro-vaccinale ».

Comme je l’ai déjà écrit, j’aurais, selon mes détracteurs, commis un blasphème vaccinal.

Ne pouvant m’accuser, en ma qualité de pharmacien à l’« apparence arabo-musulmane » – expression empruntée à un ancien Président de la République française – d’intégriste religieux, ces griefs injustifiés tenteraient de me faire passer pour un « mécréant » de la politique vaccinale contre la Covid-19 que j’estime fautive et répréhensible.

La gestion de la vaccination contre la Covid-19, et notamment l’obligation vaccinale, aurait-elle révélé un nouveau variant du nazisme, du fascisme, du totalitarisme, ou d’autre chose ?

Le CNG, placé sous l’autorité du ministre de la santé, est donc juge et partie lors de cette « procédure disciplinaire » qu’il vient d’engager à mon encontre. Ce qui est, pour le moins, inacceptable.

Cette partie adverse n’a pas supporté la prise de conscience de la population suite à ce seul débat public, contradictoire et ô combien utile qui a été rendu possible par cet organe parlementaire bicaméral (Sénat – Assemblée nationale) qu’est l’OPECST. Et dont vous restez comptable de ses travaux lors de cette enquête parlementaire concernant, sans doute, la plus inédite des affaires que j’ai eu à connaître depuis le début de mon parcours hospitalo-universitaire.

Découvrir l’intégralité de l’intervention du Docteur UMLIL https://ctiapchcholet.blogspot.com/2022/08/vaccins-contre-la-covid-19-lopecst.html?m=0

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